Dépression, psychose, arrêt de travail, décollement de la rétine… Les révélations sur la santé et la personnalité du copilote Andreas Lubitz ne cessent d’affluer, toutes provenant naturellement des sources les plus dignes de foi. Le Never Trust – qui n’est jamais en reste lorsqu’il s’agit de faire éclater la vérité en mille petits morceaux épars – a mené l’enquête à son tour, et les éléments récoltés dépassent l’entendement.
Andreas Lubitz était éjaculateur précoce !
C’est sa première ex-petite amie Ichsage Scheiße qui l’affirme : « Alors que j’avais quinze ans et lui seize, nous avons profité que ma grand-mère soit sortie acheter du schnaps pour son Katz pour essayer de coucher ensemble, mais il a éjaculé avant même que j’aie le temps d’enlever meine Höschen ! »
Andreas Lubitz était sourd !
C’est un cousin du voisin du copilote qui l’affirme : Andreas Lubitz était sourd comme un pot, « et encore, précise-t-il, comme un pot qui serait particulièrement sourd ! » Ce qui pourrait expliquer pourquoi Lubitz ne répond pas au pilote lorsque celui-ci lui demande d’ouvrir la porte, ni à la tour de contrôle lorsqu’elle lui indique que son avion semble en difficulté : il ne les a simplement pas entendus !
Andreas Lubitz confondait sa gauche et sa droite !
Son ancienne maîtresse de maternelle évoque des souvenirs troublants : « à l’âge de trois ans, Andreassounet – ainsi que nous le surnommions – avait beaucoup de mal avec sa gauche et sa droite. On essayait de lui expliquer que la droite est du côté de la main qui lui sert à écrire, mais rien à faire, il demeurait dans la confusion la plus totale ! »
Andreas Lubitz était gaucher !
« Ah oui, je comprends mieux alors », conclut l’ancienne maîtresse de maternelle.
Andreas Lubitz n’était pas un Allemand de souche !
Un étude ADN d’un échantillon de moëlle osseuse du copilote a permis à des scientifiques de remonter sa trace génétique : « L’homme présente des caractéristiques britanniques, françaises, slaves et grecques. » Un patrimoine hautement germanophobe qui souligne son inaptitude à piloter un avion sous pavillon allemand !
Andreas Lubitz se prenait pour Jésus Christ !
Des clichés retrouvés dans son appartement par la police ne laisse aucune place au doute : Lubitz y figure vêtu d’une toge blanche et d’une barbe épaisse, crucifié au mur de son salon, une auréole électrique au dessus de la tête.
Andreas Lubitz était une femme !
C’est un marabout congolais domicilé à Dusseldorf qui l’écrit sur sa page Facebook : « je suis absolument convaincu qu’Andreas Lubitz était une femme ! » Un témoignage particulièrement crédible qui amène une nouvelle explication au drame : le copilote aurait précipité son avion sur la montagne en essayant de faire un créneau.
Andreas Lubitz n’existait pas !
Ultime révélation, sans doute la plus troublante : nous n’avons découvert aucune preuve concrète de l’existence d’Andreas Lubitz. La plupart des personnes à qui nous nous sommes adressés – voisins, amis, boulangers, animaux de compagnie – n’avait jamais entendu parler de lui avant le crash de l’A320. Il en va de même pour le DRH de la Germanwings qui, de toute évidence, n’aurait jamais laissé monter dans son cockpit un pilote bipolaire, suicidaire et aveugle pour prendre les commandes de l’un de ses avions. On peut donc en conclure qu’Andreas Lubitz est une pure invention destinée à dissimuler une conspiration.
Nous laisserons à Alain Soral ou Thierry Meyssan le soin de décider laquelle.