Triste Sarko, qui avait déjà son plan de second tour en tête, sa campagne présidentielle bien calée, son Premier ministre sous le coude et ses crocs de boucher bien affutés. Et au final, son ancien collaborateur fait de la résistance, et le voici relégué en troisième position. Les gens veulent du changement, clament les analystes, qui n’avaient rien vu venir. Comme si Fillon était entré en politique avant-hier…