Attention, faux ami : « traitor » en anglais signifie « traître », et non « traiteur ». Il y a de quoi s’y tromper quand Trump sert la soupe à un Poutine qui n’en demandait pas tant, mettant sur un pied d’égalité ses agences de renseignements nationales et la parole du Tsar Vladimir 1er. À côté de Vlad l’Empoisonneur, Trump l’affirme : pourquoi diable la Russie aurait-elle mis son grain de sel dans l’élection présidentielle de 2016 ?
Changement de ton une fois back in the USA : Trump explique que sa langue a fourché. Jamais le dicton « plus c’est gros, plus ça passe » n’aura été vrai : entre les chattes cueillies, les « good people » dans les rangs des nazis, et maintenant l’excuse du lapsus pour cacher sa couardise, Trump repousse les limites si fort qu’il frôle la mise en orbite. On comprend mieux dès lors qu’il milite pour la création d’une Space Force !