Après la Syrie, c’est au tour de la France d’être touchée par l’impétuosité du président américain. Choqué par les images de François Fillon couvert de farine durant son meeting à Strasbourg, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois usines françaises produisant de la farine industrielle.
Les images ont tourné en boucle sur Fox News, et n’ont naturellement pas échappé à l’attention du télévore Donald Trump : François Fillon, recouvert de farine durant un meeting à Strasbourg, montant courageusement à l’estrade pour dénoncer les violences commises à son endroit.
Le président américain n’a pas manqué de twitter à propos de ce triste spectacle, apportant tout son soutien au candidat Les Républicains, accompagné d’une jolie faute d’orthographe dans le patronyme de ce dernier.
Mais l’indignation de Donald Trump a pris de l’ampleur lorsque ses conseillers lui ont appris que Manuel Valls avait également été victime d’une attaque du même acabit durant la campagne des primaires socialistes.
Jugeant la situation incontrôlable, et sans demander l’aval du Conseil de sécurité des Nations Unis, le président des États-Unis a décidé de faire bombarder trois usines de farine industrielle françaises : l’une située dans la banlieue de Strasbourg, et deux autres dans le Limousin.
Les usines ont été partiellement détruites par les bombardements mais aucune victime ne semble à déplorer. Le syndicat des Enfarinés de France a immédiatement condamné les attaques, estimant que rien ne prouve que la farine employé contre François Fillon était bien d’origine française.