De Griveaux à Grivois, il n’y a qu’un pas que l’ancien candidat LREM (La Rampe en Mouvement) à la mairie de Paris a franchi avec allégresse. Celui dont la campagne était déjà branlante s’enfuit la queue entre les jambes après la publication d’images « à caractère sexuel » le concernant. Autrement dit, des vidéos où le bonhomme s’astique les cuivres à s’en percer les tympans.
À quelques semaines du premier tour, le cas Griveaux laisse un beau merdier désormais confié à Agnès Bouzyn. Une belle occasion de fuir le ministère de la Santé en pleine crise du coronavirus ? « Honnani soit qui mal y pense ! », répond-elle. En attendant, Griveaux peut se consoler : il est rare pour un homme de pouvoir jeter l’éponge avec l’assurance que personne ne le traitera de petite bite.
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