Il aura été la voix de gauche de Sarko, celui par qui Jaurès est arrivé dans ses discours de 2007 tandis que Buisson se cachait sous la table. Il est aussi l’auteur du discours de Dakar, de « l’homme africain qui n’est pas rentré dans l’Histoire », parce que Guaino fait l’Homme à son image. Certain depuis toujours de son destin national, il s’engage dans des primaires battu d’avance. Il est de la race des cons vaincus.
Sa plume ne servant plus aujourd’hui que lui-même, monsieur Guaino est devenu Riton du Café du commerce. À force de mettre les points sur les i, le sien s’enfonce pour ne plus laisser que des relents moranesques d’Henri Guano… Prochaine idée pour lutter contre le terrorisme, après le meurtre de Saint-Étienne-du-Rouvray ? « Il n’y a qu’à équiper chaque petit Jésus d’un lance-roquettes, et puis voilà ! »