« Si on n’a pas une Rolex à cinquante ans, on a raté sa vie ! » déclarait voici quelques années Jacques Séguéla, alors englouti de sarkozysme après avoir tété la mamelle mitterrandienne durant deux décennies. C’est qu’il ne peut pas s’en empêcher : l’homme vient du monde de la réclame vulgaire et démago, qu’il porte sur ses épaules tel un Atlas n’ayant pas encore intégré la dérive des continents.
Et le bougre a récemment remis ça en déclarant que « même un clochard peut arriver à mettre 1500 euros de côté ». Révélant encore une fois sa vraie nature : celle d’un bonimenteur obtus qui ne connait de la réalité que les ombres projetées sur les murs de sa luxueuse caverne par les néons des panneaux publicitaires. Un client idéal pour les médias en somme, où chacune de ses apparitions fait un effet beauf !