Dernier coup d’éclat médiatique du buzzchévique : « Si on arrête la guerre en Syrie, il est vraisemblable que les attentats cesseront. » Et si Nadine en avait, on l’appellerait Jean-Luc ! Le stentor faux-modeste fait penser à un député de la Troisième essayant de comprendre le nazisme avec son manuel des guerres napoléoniennes. La réalité est méprisable : Méluche évite donc de la fréquenter.
Convaincu de représenter un peuple qui ne vote pas pour lui, contraint d’en faire des tonnes et de se ridiculiser, Mélenchon est la seule marionnette qui se manipule elle-même. Quitte à faire le jeu malgré elle d’un gouvernement socio-traître et d’un Front National qui jubile. Jean-Luc peut en rêver, il ne sera jamais capitaine, pas même de pédalo. Juste, au mieux, troisième violon sur le Titanic.
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