« Mélodie d’amour chantait le corps d’Emmanuel »… Notre ministre de l’économie a la fougue juvénile qui se ressent dans les débats agités qu’il a su tenir à la Chambre. L’homme est resté rigide sans rompre ni faillir face aux députés. Ils ont eu beau soupirer, huer et se cabrer à qui mieux-mieux, c’est comme un cheval fourbu – ou mort ? – qu’ils ont avoué leur défaite face au passage en force du 49-3. Article érotique…
Un passage en force orchestré par un Valls fanatique numéro un de la Macron-économie. S’il pratique la violoniste autant que le pipeau, il ne joue pas de la flûte avec tout le monde. La loi Duflot sur le logement est accusée des pires maux, mais pour défendre les entreprises il est prêt à tous les coups de boutoir. La crainte de se mettre sur le dos sa propre majorité ne lui fait pas peur : l’homme est du genre brutal et ne s’en cache pas. Bref, comment appelle-t-on un Premier Ministre qui s’en branle ? Manuel !