Alors l’Unef, repère d’idiots utiles de l’islamisme, de fils à papa bourgeois en mal de rébellion, de millenials abrutis par les réseaux sociaux ou de gamins biberonnés aux bourdieuseries ? La vraie question est : sommes-nous réellement censés choisir ? Disons-le tout net : le syndicat mérite la première place du naufrage moral et idéologique. Reléguer la CGT à la deuxième marche du podium, il fallait le faire !
Après avoir pointé du doigt les prochains candidats « islamophobes » à la décapitation, l’Unef fait sensation aujourd’hui avec des ateliers non-mixtes. Sa défense ? La même : se victimiser face au méchant monde, qu’il finira par changer à grands renforts d’amphis bloqués et d’écriture inclusive. Des voix (de droite) demandent aujourd’hui sa dissolution. Le syndicat (de gauche) est pourtant dissolu depuis belle lurette.
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