« Je suis une tueuse ! » clamait NKM dans la presse en 2013, sans doute pour s’en convaincre elle-même. Peut-être a t-elle dégommé dans sa vie quelques moustiques, mais en matière de politique le costume de victime lui sied nettement mieux. Nathalie n’est pas le joli nom du guide des Républicains : elle s’obstine à voir le FN comme un ennemi, lorsque son président le voit comme un réservoir.
La voici donc évincée des instances dirigeantes du parti. Trop Bachelot et pas assez Morano, NKM a perdu son combat pour recentrer Les Républicains. Drapée dans son ni-ni, la Droite française pèche à la ligne et drague les bas-fonds de l’électorat français. Facho-traitresse, NKM est priée de faire ses valises. Et tant pis si son teint diaphane faisait pourtant d’elle une parfaite représentante de la race blanche.