Finalement, monsieur Hulot préfère prendre des vacances. Lui qui se sentait prêt à affronter le suffrage universel en 2012 ne s’en sent plus capable en 2017. L’usure du pouvoir que l’on n’a jamais eu, c’est tout de même une première ! On voit que l’homme n’est pas un écolo comme les autres : alors que Baupin laisse traîner ses mains partout, Hulot retire vite les doigts dès que ça commence à brûler.
L’ancien employé de Rhône-Poulenc bénéficie pourtant d’une côte de popularité à faire verdir d’envie n’importe quel candidat. À présent qu’Ushuaïa n’est plus en lice, faut-il se tourner vers une candidature Thalassa, 30 millions d’amis, voire Fort Boyard ? Ce sera toujours mieux que des Sarko et Baroin qui la jouent Starsky et Hutch, et un Hollande qui nous refait La Croisière s’amuse. En pédalo.