Pute borgne et fesses de bouc ! Voilà que le juvénile multillionnaire Mark Zuckerberg est malmené par le Congrès américain. Certes, quiconque a déjà essayé d’apprendre à un vieillard à se servir d’une souris comprendra pourquoi l’audition a duré si longtemps, mais le moment n’en était pas moins remarquable : pour la première fois, les élus américains essayaient de blâmer autre chose que les jeux vidéos des dérives de leur société.
Confidentialité, manipulations, il y a beaucoup de choses à reprocher à Facebook, à grands renforts de smileys boudeurs. Au final, Mark Zuckerberg s’est dit favorable à une régulation d’Internet. Pourquoi pas, en effet ? Avec la puissance de feu de sa compagnie, il y a de fortes chances qu’il finisse lui-même aux manettes, d’une manière ou d’une autre. Et quelle belle idée de confier les clés de l’asile à l’inventeur du réseau qui rend fou !